Quand on finit enfin à faire en sorte que l’activité qu’on a lancée décolle, on est parfois confronté à ce que l’on appelle une crise de croissance.
Les contacts qui se multiplient
Quand c’est comme cela les choses ont tendance à changer et on se retrouve avec un volume de contacts qui augmente considérablement. Mais tous les contacts ne sont pas forcément bons à prendre. Je lisais d’ailleurs un article très intéressant et très bien écrit l’autre jour sur le site Internet d’une graphiste toulousaine qui expliquait qu’après avoir travaillé son référencement et s’être retrouvée en première position sur sa principale requête d’activité à savoir : « graphiste Toulouse » elle avait généré via cette position dans Google de nombreux contacts mais qu’elle n’avait pu en convertir aucun. C’est le genre d’écueil que l’on rencontre en prenant une dimension plus importante. Si vous souhaitez lire cet article (et je vous le conseille), c’est par ici. Je pense qu’elle ne m’en voudra pas pour le lien ancré sur son activité de graphisme et webdesign à Toulouse maintenant qu’elle sait trier les contacts infructueux quand on est dans les premiers sur Google mais je pense que cela reste intéressant. D’ailleurs j’en profite, si vous me lisez et que vous voulez que j’enlève le lien, pas de problème.
Refuser des projets
Dans ces cas là, il faut savoir refuser des projets que l’on ne saurait traiter correctement tout en restant rentable. Et bâcler son travail pour signer un contrat de plus finira forcément par vous jouer des tours un jour ou l’autre.
Sous-traiter intelligemment
Si vous commencez à sous-traiter à tour de bras, vous allez gonfler votre chiffre d’affaires mais vous allez aussi très probablement diminuer vos marges ce qui, à termes pérennise moins l’activité en vous empêchant par exemple de faire suffisamment de provisions. Sous-traitez là où vous êtes le moins performant et n’hésitez pas à embaucher si il y a vraiment de gros besoins.