Suite des articles concernant la gestion d’une micro-entreprise et des qualités qu’il vous faut pour devenir un bon entrepreneur, ne pas avoir peur de l’échec.
Vaincre la paralysie
Ne pas avoir peur de se lancer
On rejoint ici un peu un concept que je connais bien dans le SEO (le référencement pour les non avertis qui me lisent) avec le fait que beaucoup de mes confrères référenceurs n’osent plus faire un lien de peur d’être rattrapé par la patrouille Google et de chuter lourdement dans les SERP. Ne pas faire, quel que soit le domaine, parce que l’on a peur de rater est le meilleur moyen de basculer dans un immobilisme total, sans doute la pire des tares quand on est un entrepreneur. Un entrepreneur a besoin d’activité, a besoin que ça bouge. Comme nous l’avons vu précédemment, à de nombreuses reprises dans les articles de cette catégorie, il doit être constamment actif.
Apprendre de l’échec
L’échec est par ailleurs souvent une source d’apprentissage presque intarissable (enfin acceptez tout de même de ne pas tout apprendre ;)) et elle forge l’expérience dont vous pourrez tirer profit par la suite. Acceptez aussi parfois que l’échec n’est pas nécessairement (souvent) de votre fait. Si votre concurrent obtient un marché parce qu’il est moins cher que vous, c’est peut-être parce qu’il casse ses prix et ses prestations, ce qui s’en ressentira à un moment donné. Autres exemples, peut-être qu’un concurrent obtiendra un marché parce qu’il connaît bien le décideur ou qu’il est meilleur que vous sur le type de prestation demandé.
Analyser (si besoin) et passer à autre chose
Essayez d’analyser rapidement ce qui n’a pas été si vous pensez qu’il y a des points à améliorer pour les prochaines fois et passez-vite au(x) dossier(s) suivant(s).
En résumé, n’ayez pas peur et mettez-vous à la place de l’enfant que vous étiez et qui tombait les premières fois de son vélo sans les roulettes et de ce que vous disaient vos parents à l’époque : « c’est rien, c’est le métier qui rentre » ;).